Backgrounds Pathfinder : Katapesh

Elung est un elfe de montagne de Uwaga qui est peu ouvert a la civilisation car il en était loin. Il peut par contre quand on est son amis devenir comme un protecteur. Il t'acceptera comme une personne de sa famille.Il est aussi très timide car il ne connait que peut la splendeur de la ville. Je dirai que c'est un elfe  qui ne part pas facilement a la guerre mais il part très facilement a l'aventure pour découvrir de nouvel horizon.

De taille normale pour un elfe. Il est néanmoins plus musclé pour un elfe. IL a des cheveux court dressé sur sa tête. IL n'a pour l'instant que s pauvre habits de la province d'Uwaga.

Elung né dans la province de Uwaga qui y a vécu une partie de sa vie. Car pour les quelques année ou il n'y a pas été, il fut a Katapesh pour vendre des produits avec sa tribu. Il est passionné par tous les éclaireur qui passe proche de son campement et qui si arrête pour y raconter des histoires. Ces éclaireur lui on offert dernièrement un "guide"(une boussole magique) Qui peut faire de la lumière sur demande
et qui fait une bonne boussole en idiquant le nord et le sud.
Il a grace a ses nombreuse année passé a Uwaga développé une discrétion supérieur et d'autant plus quand il est sur des rochers. Il a développé une grande timidité en partie a cause de sa première rencontre qui a failli lui couté la vie    "Il avait révélé son nom a un jeune enfant Katapeshien. Qui avaient averti des adultes que un elfe sauvage se trouvé dans le quartier. Car dans ce quartier il n'aime pas beaucoup les elfes. Il s'en est réchappé de peu grace a beaucoup  de chance."
Mais quand un autre deux ans auparavant était devenu son amis. Il l'avait accepté comme une personne de sa famille

Conrad est un humain de tout ce qu'il y a de plus basique. il mesure 1m70 et pèse presque 75kg. Il a les cheveux brun et yeux marrons. Il a l'air bien nourrit et pas mourrir de faim. Il entretien beaucoup son physique car il considère que le physique est le premier contact avec les autres.

Conrad est née dans une famille de voyageur. Jusqu'à ces 10 ans, il vit une vie paisible sans encombre.Cette alors que pendant la nuit la troupe voyageur avec laquelle ces parent voyageaient fut attaquée par un groupe de voleurs. Tous le mondes mourra sauf Conrad.Au petit matin Conrad découvrit le carnage. Il fut désemparé par cette situation qu'il récupérera juste son sac et parti en courant dans une direction inconnu. Après 2 jours d'errance il rencontra un groupe de Paladin et de prêtre qui rentrait de mission.
Conrad leurs expliquèrent son histoire et tout ces actions depuis le massacre. Après queleque délibération entre les chef du groupe il fut accueilli et sauvé d'une mort certaine. Certains prètre et paladin décidèrent de le former au métier de paladin et au culte de Sanrenrae. Le temps de retourner à la capital Conrad apprit les bases du métiers.
Une fois sur place de vrai maîtres pris soin de sa formation. il devient vite un de leurs meilleurs élèves grâce à ça soif de connaissance et d'apprentissage. Un jour un des maîtres lui expliqua que la principale raison qu'il l'avait accueilli était que le groupes pensaient que conrad était un miraculé de Sanrenraé par sa survie à l'attaque et à l'errance.Depuis ce jour la ça croyance envers Sanrenraé devient beaucoup plus forte.
Après 6 ans d'étude Conrad fut enfin apte à partir en mission. Pendant 6 ans il fit diverse type de mission pour son église: protection , surveillance, etc.,. Après ces 6 ans de travail acharné il fut nommé pour la pour la création d'église et de village. Ça première tourna court. ils étais en cours de créations de village dans une contré lointaine lorsqu'un groupe de gobelin vient s’installer par dessus en revendiquant le territoire. Le s homme des conrad beaucoup moins nombreux fut obligé de partir pour ne pas mourir. Il passa trois ans à faire ce type de missions. il en réussit et d'autre non. C'est alors que l'on lui proposa de rejoindre l’expédition de Garavel, en direction de Kelmarane, dans l’espoir de retrouver de reconstruire l'église de Sanrenrae.

Du plus loin dont il se souvint, Arok avait toujours porté ces bracelets de métal qui enserraient ses poignets à longueur de journée. Ranger les articles, dépoussiérer le stand en bois, dont les échardes acérées lui traversaient la peau de ses faibles mains, prendre les coups de bâtons du vieil homme qui lui servait de maître, telles étaient les journées du pauvre enfant qu'était Arok.
À cette époque, il ne se souvenait plus de ses parents... enfin, en avait-il déjà eu souvenir un jour ? Il avait grandi dans la crasse et la puanteur des Étalages de nuits, figés entre les murs de Katapesh. Il n'avait le droit qu'au pain rassis comme seul repas, accompagné d'eau croupie.
Était-ce là l'avenir que ses parents avaient décidé pour lui ? L'avaient-ils vendu par nécessité, lui, un enfant en bas âge ? Ou leur était-il arrivé quelque chose ?
Gramort, son vieux maître, n'en soufflait mot. À la place de réponses, le pauvre garçon n'obtenait que coups de bâton et réprimande. Il devait travailler, et dur par-dessus le marché, s’il voulait festoyer le soir venu avec sa maigre ration du jour.
À la mort de son tortionnaire, Arok passa entre les mains de la cousine de ce dernier, Fadhe. Une horrible créature aux doigts d'araignée qui passait son temps à tester la volonté de son nouveau jouet. En plus du travail qui avait augmenté, le pain, lui, avait diminué.
La vie ne fut pas jouasse avec Fadhe. Son antre, empestant toutes sortes de drogue aux couleurs variées, agressait, chaque jour, les sens des esclaves de la maîtresse, Arok compris.
Mais la vie du jeune esclave tourna court le jour où ce dernier fit choir un récipient rempli de pesh qui caillait dans salle du fond. Fadhe se retint de le mettre à mort.
Pour récupérer la perte qu'avait occasionnée le jeune homme, la méchante femme le vendit à Drelbun, un herboriste de la ville basse. Arok venait de fêter ses 14 ans.
Étrangement, son nouveau maître n'était pas comme Fadhe ou son méprisable cousin, Drelbun se montrait plus attentionné avec ses esclaves. Il n'était pas au point de leur parler poliment, bien sûr, mais les punitions étaient rares, et la nourriture était de meilleure qualité. Même l'eau, inhabituellement cristalline pour Arok, avait un goût différent, et même plaisant. Il avait des vêtements en bien meilleur état et des bracelets moins lourds, pour faciliter son travail et ne pas faire fuir la clientèle par la crasse que l'on peut observer aux Étalages de nuits.
Les années passèrent, et Arok devint un homme fort et débrouillard. Mais tout n'allait pas bien pour son maître. Drelbun avait de lourdes dettes à honorer, et dû se séparer d'une partie de sa main d'œuvre, vendant la masse à la gouvernance de la capitale. Arok, sentant le vent de la liberté l'appeler, pria son maître de le vendre à la ville. L'herboriste hésita longuement à se séparer d'un esclave aussi jeune, mais il n'eut pas le choix.
En quittant sa dernière demeure, le jeune homme vit le temps filer à grands pas. Il passa devant bien des yeux le scrutant et des bouches moqueuses. Jusqu'au jour où l'on prononça la question qu'il avait attendu toute sa vie :

— Tu veux être libre... n'est-ce pas ?

Bien sûr qu'il voulait être libre, c'était son désir le plus fou. Il voulait voir le monde extérieur, manger la nourriture de son choix, avoir un travail pour lequel il serait payé en or et non en coups de bâton.
On lui expliqua que sa situation n'était pas si simple, la ville ne pouvait libérer un esclave comme cela. Ça ne se faisait pas. C'est alors qu'une proposition lui fut faite :

— Rends service à la ville, et tu seras libre !

Et sans même savoir ce qu'était ce service, Arok accepta. Un sourire puis... le noir.
Il se réveilla à terre, le soleil frappant ses yeux fatigués. Une troupe d'hommes autour de lui discutait avec entrain, pendant qu'un autre groupe testait diverses armes et armures, hurlant que tel objet était trop lourd ou que ça allait casser le premier Gnoll venu. Puis Arok remarqua l'homme penché au-dessus de lui. Ce dernier lui ordonna de prendre arme et armure, et à grande vitesse. Il n'avait pas le temps d'attendre les retardataires. On lui expliqua qu'il avait un travail à faire : protéger les voyageurs et la caravane, en compagnie de la bande de fiers-à-bras que constituait la bruyante troupe environnante.

— Un voyage ? s'étonna Arok.

L'esclave demanda donc si c'était le prix à payer pour sa libération. La seule réponse qu'il reçu fut :

— Fais le travail que je te confie et on parlera de ton sort ensuite. D'accord ? Prends de               l'équipement, on part pour Kelmarane !